Olivier's weBlog

So we just got back from China and I finished my tenure at Médiamétrie... That meant I was going to go back to waiting for a new contract in one of our glorious banking corporations. The joy normaly associated with a new job was only slightly hampered by the knowledge that I was going to spend a couple of hours a day in the metro. And that I was probably going to work in a Lotus crap environment. And that I would have to put up with tons of red tape before I could actualy use a computer?

And that I would have to put up with CCMi crap... and... Ok! To be truthful, there was no joy associated with getting a new mission. So it happens that I was looking for other opportunities when I got a lead from a very nice guy offering a CTO position in a young company. We met and from then on, things went pretty fast.

Here I am now, building a brand new team, on a brand new problem, just 5 minutes walk from home. With a laptop that responds to my finger prints (I really like this new biometric stuff), I feel like I'm at the top of the world.

I'll be keeping you posted as things get started. I'm still at the "I must be dreaming, this is so cool" phase. I should soon get to the "opening closets and getting the content spill all over you" phase (that's one of my favourite). I might be able to avoid the "sell the kids to pay for the divorce lawyer" phase which doesn't have to happen.

Les voila dans leur splendeur. De nuit, c'est toujours aussi impressionant. Evidemment, les tours sont trop grosses pour tenir toutes les deux dans l'appareil, alors on n'en a pris qu'une seule.

Il vous suffit de placer un miroir à côté de l'écran et c'est comme si vous y étiez.

Bon, ok, c'était une blague, on peut reculer de quelques centaines de mètres et on obtient à peu près ceci :

Et on peut aussi admirer l'ensemble de l'ouvrage depuis la KL menara, la tour imposante sur laquelle ce trouve le super restaurant qui tourne.

Voici un sujet trivial mais visuellement sympathique. Il y a une sorte de charte graphique, une identité particulière à Kuala pour ce qui est des panneaux pour les toilettes.

En voici quelques morceaux choisis que nous glanâmes au long de notre route.

Mais quand on est vraiment pressé, ce qui peut arriver au touriste imprudent

dans ses choix alimentaires, voici donc la version urgente :

Oui, vous pouvez faire des commentaires sur le manque de photos, le manque d'articles et globalement, une presence assez elliptique sur Internet. Mais, vous noterez que la categorie du message vient de changer et que nous sommes donc maintenant a Kuala Lumpur et non dans un trou paume avec des animaux ALC. Rien qu'a l'odeur, je sais ou je suis. Cette ville sent bon. Les fruits, la vegetation, pas trop de vehicules... je ne sais pas vraiment pourquoi, mais KL a un parfum caracteristique qui me manquait. Je ne me rendais pas compte a quel point ca me manquait avant d'etre de retour dans la cite. Bon, reprenons le cours du recit au depart d'une ile paradisiaque pleine d'animaux rigolos. Nous sautons au petit matin dans un bateau en retard qui nous amene au port d'en face toujours en retard avec des tonnes de chauffeurs de taxi qui nous expliquent que notre bus est deja parti... Mais c'est compter sans les super-pouvoirs de Virginie qui saute du bateau en marche pendant que je gere le reste de la tribu et les trois quintaux de bagages du groupe. Elle reussi a intercepter le bus a deux ou trois rue de la, juste avant qu'il ne nous plante definitivement dans la pampa malaise. Et nous embarquons pour KL dans un bus assez luxueux. C'est une ligne purement malaise avec un bus spacieux, des sieges inclinables quasiment a plat... Arrivee en ville a six heures du soir sous la sympatique pluie tropicale du soir.

Hop, le guide touristique de Claudine nous conseille un "petit hotel de charme" en centre ville avec des chambres assez abordables. Une fois sur place avec le teksi (taxi) une fois de plus completement bonde, un petit doute me fait garder tout le monde dans la petite proton ... Il s'agit d'un immense hotel de luxe et le premier prix est pret de 3 fois celui annonce dans le quide touristique. Et la, au lieu de laisser Virginie gerer la crise, j'interviens et je fais la connerie du soir : je demande au chauffeur s'il ne connait pas un hotel tout pret qui soit plus dans notre budget. C'est une betise parce qu'il va negocier et toucher une com sur le prix donc, ce sera plus cher. Bof, finalement, le prix est affiche, donc ce n'est pas grave. Notons au passage qu'il s'agit quand meme d'un hotel assez minable pour son prix et que nous avons trouve mieux le lendemain et que ce matin nous avons transfere nos bagages au Cabana Inn, sympatique hotel bien place pour nos diverses activites :
- Visite de la KL tower avec repas dans le restaurant tournant, photos et vertige.
- Visite des twins avec rephotos et revertige.
- Passage au cinema voir Hellboy 2, enthousiasme pour Jean qui s'identifie beaucoup.
- Visite de Bangsar avec retrouvailles avec Gwen et Bruno. Ils sont jeunes, ils sont beaux et le bebe arrive tout bientot ...

Le train Thai, ca se negocie tout du long. En fait, comme nous ne sommes pas assez nombreux a aller au dela de la frontiere, le train est remplace par un bus, mais nous n'avons de billet pour ce dernier. Nous voila donc, debarques a la frontiere apres une nuit amusante avec un arret dans un "meeting politique" (y a un type avec un mega phone en train d'evangeliser une douzaine d'insomniaques dans une gare paumee) et aucune idee d'ou aller pour la suite. Virginie fait une paire de miracles (on se tasse a sept dans un petit taxi pour aller a la gare des bus, y a pas de place dans le bus, elle nous trouve un plus grand taxi, on s'entasse a sept dedans et on se tape huit heures de route avec les 4 momes...) on arrive, on saute dans le premier bateau a l'aube... et nous voila sur l'ile paradisiaque de Perentia. Virginie coure au bon hotel et nous prend les trois chambres necessaires. Ensuite nous avons vu arriver tous les backpackers du week-end qui cherchaient vainement des chambres libres dans tous les hotels du coin. Ouf, on est loge.

On est loge, oui, mais la premiere nuit nous est un peu difficile. Apres avoir trouve les trous dans la moustiquaire qui expliquait pourquoi tous les moustiques du quartier s'etaient donne rendez-vous dans notre lit, nous avons fait quelques achats d'insecticides divers a deux heures du matin pour finir une nuit assez agite par la presence sous nos fenetres du groupe electrogene. Odeurs de gazoil et la musique de la charge des walkiries signalant l'arrivee des helicopteres. Vous me direz tous que je n'avais qu'a acheter des boules quies, mais je n'en utilise que pour ecouter du rap. Dernier detail, je viens d'aider la dame du cafe a gerer son probleme de Wifi, et en consequence, elle me laisse l'internet gratuit, ce qui explique mon petit message de la journee. Je vous embrasse tous, a bientot.

Nous nous sommes trouve le train pour le Sud. Nous partons tous les sept dans une heure et demi pour la gare central de Bangkok. Vous allez me dire, mais ou sont les photos ? Bon, elles sont en train d'etre imprimees chez une petite dame charmante, a trois pas d'ici. Ca vous fait probablement une belle jambe que de savoir qu'il y a dedans un reportage complet sur les celebres Khlongs de Bangkok. Il y a toutes les photos de l'aquarium et tout un tas de conneries que j'ai photographie pour votre plaisir personnel, mais je n'ai pas le temps de les transferer sur mon site avant le depart en train.

C'est malin, je sais, surtout que je ne sais pas quand j'aurai de nouveau un acces a internet. Oui, c'est un peu le depart pour la brousse, et si nous allons traverser des tas d'endroit tres certainement equipes de l'adsl, l'ile de Perentian n'est pas vraiment connectee au monde electronique. Mais c'est bien la toute l'idee. Je compte bien decrocher de tout cela pendant une dizaine de jours.
Bises a tous.

Claudine et Pierre sont parmi nous et déjà, les billets de train sont en poche. Ça va dépoter vers le Sud. En attendant, le dépaysement commence en force pour les nouveaux arrivants avec quelques loupes techniques :

Pas de massage pour les miss ce soir, mais tentative de découverte du Tom yum local. Beurk, apparemment. Une sorte de soupe thaï, mais avec rouelle de porc, bout d'os, divers abats bizarres et méconnaissables. Pas de viande, mais divers arômes identifiés quand même. Better luck next time.