Bangkok, capital du sourire. Vous n'êtes pas encore monté
dans l'avion que vous sentez une différence : cela fait
déjà plusieurs minutes que l'on ne vous a pas aggressé.
Il faut s'y faire, c'est dépaysant. A l'arrivée, évidemment,
il faut ruser, si on ne veut pas payer trois fois le prix, mais comme nous
sommes huit, on va prendre le bus. Papy Jacques commence à
pencher vers l'arrière, mais nous avons déjà une
destination en vue, le Sky Train (sur la ligne, il y a le parc Chatuchak, le Week
End Market, Siam et tous les trucs sympas). On s'installe dans un premier hotel
au bon prix. Apres une tentative d'enlèvement de ma femme par
un chauffeur de taxi entreprenant (avec 26 kg en moins, elle commence
à devenir vraiment intéressante, ma
Virgule) on met toute la famille à portée des massages, des brochettes,
des milk shakes et de toutes ces nourritures pour lesquelles nous n'avons
même pas de nom en français.
Bangkok, city of smiles. You're not yet on the plane when you notice something
different: you haven't been insulted for at least several minutes. That's unusual
in Paris. Once there, of course you still have to avoid a few traps laid for the
unwary tourist, but as we're eight, we'll settle for the bus. GrandPa Jacques is
starting to tilt backwards noticeably, but we have an identified destination: the
Sky Train (it takes you to the Chatuchak Park, the Week End Market, Siam and
a lot of cool places we found last time). We find the first available hotel at the
right price. After an attempted abduction of my wife by a taxi driver (now that
she's lost 26 kilos, she's started to interest other men again), we drop the whole
family within reach of massages, grilled things on a stick (ask C.M.O.T. Dibbler),
milk shakes and the rest of these nameless things you eat off the street.